« Qu’y-a-t-il après l’amour ? » semblent nous interroger les danseurs par leurs gestes précis et fiévreux. Sharon Eyal et son complice Gai Behar signent une pièce envoûtante, rythmée par les percussions électroniques d’Ori Lichtik. Une techno aiguisée et sensuelle sur laquelle les corps vibrent et s’embrasent à la recherche d’un insatiable désir.
Sharon Eyal, ancienne directrice artistique de la Batsheva, s’attache à la virtuosité du mouvement et à une écriture au cordeau. Avec Gai Behar, issu du monde de la musique, c’est tout l’univers des clubs et de la house qui s’invite sur le plateau. De leur duo naît une danse sensible et habitée. Une œuvre enivrante jusqu’à l’extase !
La presse en parle...
"Une heure durant, les six danseurs font preuve de la plus extrême précision, offrant les plus belles variations sur une musique répétitive et envoûtante." Le Figaro
"Love Chapter 2 consacre le nouveau phénomène de la danse israélienne : Sharon Eyal. Son discours maîtrisé tient dans le mors l'expressivité des danseurs, qui doivent contradictoirement extraire et contraindre, jeter l'énergie et ciseler le geste, passer dans l'instant du fluide au cassant, de l'extase au rire noir, de la transe froide à l'érotisation SM." Danser Canal Historique
"Leurs mouvements sculptés sur la bande-son d'Ori Lichtik électrisent et fascinent le public." La Gazette