Une nuit, un homme promène son chien un peu plus tard que d’habitude. Il croise une patrouille de police qui fait sa ronde. Mais la rencontre va tourner au cauchemar… Marco Baliani et Julien Kosellek dissèquent une nouvelle fois les origines de la violence individuelle et collective.
Sans manichéisme, la narration nous place dans la tête et le corps de chaque protagoniste, modifiant sans cesse nos perceptions. Seul en scène, l’acteur s’empare de cette partition kaléidoscopique. Alternant récit et incarnation, il nous guide dans l’anatomie d’une violence policière.